Conscience phonémique : les phonèmes les plus fréquents dans les mots les plus fréquents

     Sur le blog, j’ai déjà posté les phonèmes les plus fréquents, les mots les plus fréquents et les graphèmes les plus fréquents.

J’ai donc commencé à croiser ces tableaux de fréquence. Ainsi, en conscience phonologique, dès que vous allez aborder la conscience phonémique, vous pouvez vous appuyer sur les 5 premiers phonèmes les plus fréquents (sur les 36 phonèmes) à savoir  [a] [r] [l] [e] [s] qui représentent à eux cinq 31,1 % de fréquence dans la langue française orale. Lorsque des mots sont proposés aux enfants afin de réaliser des jeux, vous pouvez puiser parmi les 500 mots les plus fréquents de la langue française. Dans les jeux de conscience phonologique ici, nous nous étions appuyés sur le tableau de fréquence des phonèmes mais pas sur les mots les plus fréquents, de manière assidue.

Conscience phono

Dans le tableau des 500 mots les plus fréquents (moins dieu, prière, esprit) soit 497 mots, j’ai recherché ceux qui contenaient le son [a] et j’ai classé les mots selon le critère de positionnement du phonème :

– au début soit en premier ;

– au milieu (c’est a dire lorsqu’il y a obligatoirement un ou plusieurs phonèmes avant et après) ;

– à la fin soit en dernier.

Nous savons que pour la production d’écrits, il est important que chaque enfant sache retrouver, dans le mot qu’il souhaite écrire, les phonèmes dans l’ordre : s’il veut écrire chapeau, dans sa tête il doit décomposer 1 [∫] ; 2 [a]  3 [p] ; 4 [o].

Il y a donc 109 mots parmi les 497 les plus fréquents de la langue française qui contiennent le son [a] ce qui représentent 21,91 % :

Mots les plus fréquents pour le phonème [a]

Mots les plus fréquents pour le phonème [a]

Et j’ai fait la même chose pour le son [r]. La particularité de ce phonème est qu’il est très présent puisque 254 mots sur les 497 le contiennent soit 51,11 % ; 43 mots ont 2  fois ce phonème et un mot fréquent comprend le [r] 3 fois, au début au milieu et à la fin : reprendre.

Mots les plus fréquents pour le phonème [r]

Mots les plus fréquents pour le phonème [r]

Je poursuis avec les phonèmes 3, 4 et 5.

Cours sur la Conscience phonologique

Voici le cours sur la Conscience phonologique que je fais en master MEEF, mentions 1 et 4 et auprès des professeurs des écoles en formation continue.

La bibliographie est celle dont les auteurs sont mentionnés dans le cours. J’en ferai une plus complète (scientifique et pédagogique) très bientôt.

En espérant que cela vous soit utile à comprendre ce prédicteur de la lecture et pour préparer l’épreuve de français du CRPE.

Gestion de classe

Cours à lire La conscience phonologique S. Briquet-Duhazé

Pour les jeux de conscience phonologique sous forme de fiches de préparation c’est par ici

Retrouvez une vidéo sur la conscience phonologique sur ma chaîne YouTube :

CRPE Français et FC : 20 définitions concernant la lecture-écriture

Afin de préparer (ou réviser) l’épreuve écrite français du CRPE ou peaufiner vos connaissances en Formation Continue, je vous propose 20 définitions concernant la lecture-écriture issues de recherches scientifiques :

  • Apprendre à lire ;
  • Code alphabétique ;
  • Clarté cognitive ;
  • Compréhension en lecture ;
  • Conscience phonologique ;
  • Décodage et déchiffrage ;
  • Écriture ;
  • Évaluation des procédures lexicale et phonologique en lecture ;
  • Fluidité en lecture ;
  • Inférence ;
  • Langue transparente ;
  • Lettres ;
  • Lexique orthographique ;
  • Littératie ;
  • Orthographe ;
  • Prédicteurs de la lecture ;
  • Principe alphabétique ;
  • Pseudo-mot ;
  • Vocabulaire ;
  • Voie directe, voie indirecte.

A poursuivre, très certainement.

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Fiche-résumé CRPE Français 20 définitions concernant la lecture-écriture

Retrouvez la vidéo de cette fiche sur ma chaîne YouTube ou ci-dessous :

« Connaissance du système éducatif » : textes parus au BOEN en 2019

Voici  le tableau des textes officiels concernant l’école primaire parus au BOEN durant l’année 2019. J’ai ajouté, à la fin du tableau, la création de l’Académie de Normandie.

BOEN

TRAVAIL EN AUTONOMIE Textes officiels BOEN 2019

Pour 2018, c’est ici.

Pour 2017-2016-2015-2014-2013, c’est .

C’était comment avant : les conférences pédagogiques ?

Circulaire du 31 janvier 1829 : « Chaque recteur s’occupera d’établir dans son académie, canton par canton, aux époques les plus favorables, des conférences entre les instituteurs, sous la présidence d’un inspecteur. Cet officier de l’université se transportera dans tel ou tel arrondissement, que le recteur lui aura désigné ; là, seront réunis les instituteurs appartenant à la circonscription d’un ou de plusieurs comités suivant les localités et les circonstances. L’inspecteur questionnera les maîtres ; il les soumettra à diverses épreuves de leçons ou de compositions ; il donnera des avis… ».

L’arrêté du 10 février 1837 prévoyait que les instituteurs de plusieurs cantons pouvaient se réunir avec l’accord de leur hiérarchie pour discuter de leur enseignement, des méthodes, l’éducation des enfants… mais tout autre sujet était banni. Les instituteurs pouvaient également faire un compte-rendu de lecture d’ouvrage pour leurs collègues, ou aborder un point de la direction d’école… Il y avait toujours un président de séance désigné par le recteur de l’académie ; le vice-président, le secrétaire, le bibliothécaire étaient nommés par les instituteurs à la majorité, pour un an. Et, précise le décret : « Des indemnités seront délivrées à ceux des instituteurs qui n’auront manqué à aucune réunion sans motif valable et dûment justifié ». Ces conférences ont aussi été désignées sous l’appellation « cours de perfectionnement » mais ayant lieu tous les mois en hiver et deux fois par mois en été, elles ont disparu en 1848.

Une circulaire ministérielle rétablit les conférences en 1856 mais 3 fois par an. Voici les instructions concernant ces nouvelles conférences scolaires : « L’inspecteur-président, à chacune des séances du matin et du soir, fera une leçon orale sur une question de pédagogie. Cette leçon aboutira toujours à des conclusions pratiques. A la conférence suivante, chaque instituteur rapportera la leçon rédigée d’après ses notes ; l’inspecteur examinera ces rédactions, et, à une séance ultérieure, en présentera la critique, en les classant par ordre de mérite. Après la leçon, un instituteur désigné dans la précédente conférence donnera lecture d’un rapport qu’il aura rédigé sur une question de pédagogie pratique, de discipline scolaire ou d’intérêt administratif… ». Cette circulaire insiste sur le rôle des inspecteurs pour transformer ces conférences en « pierre de touche des qualités que l’administration supérieure a le droit d’exiger… ». (Rendu, 1881, p. 332).

Entre 1856 et 1880, les conférences avaient lieu de manière très inégales selon les départements.

L’arrêté du 5 juin 1880 précise :

Article 1er : Des conférences pédagogiques d’instituteurs et d’institutrices publics seront organisées dans chaque canton par l’autorité académique. Deux ou plusieurs cantons pourront être réunis. Le recteur, sur la proposition de l’inspecteur d’académie, pourra décider que la même conférence sera commune aux instituteurs et aux institutrices. La présidence appartient, de droit, à l’inspecteur d’académie, ou, à son défaut, à l’inspecteur primaire. Les membres de la conférence nomment, chaque année, un vice-président et un secrétaire choisis parmi eux.

Article 2 : Il ne sera traité, dans ces conférences, que de matières de pédagogie théorique et pratique.

Article 3 : A la dernière réunion de chaque année scolaire, la conférence propose les questions qui pourront être traitées au cours de l’année suivante. La liste de ces questions est arrêtée et publiée, dans le plus bref délai possible, par l’inspecteur d’académie.

Article 4 : La présence aux conférences pédagogiques est obligatoire pour tous les instituteurs et institutrices publics titulaires ; elle l’est aussi pour les instituteurs adjoints, toutes les fois que leur présence n’est pas nécessaire à l’école. Des dispenses pourront être accordées par l’inspecteur d’académie.

Article 5 : Les instituteurs et institutrices libres peuvent, sur leur demande, être autorisés par l’inspecteur d’académie à assister aux conférences.

Article 6 : le nombre, la date et le lieu des réunions sont fixés par l’autorité académique.

Article 7 : Une copie du procès-verbal de chaque séance est envoyée à l’inspecteur primaire ».

La circulaire du 10 août 1880 permettra la mise en application de cet arrêté en précisant l’importance d’échapper à l’isolement pour les enseignants, à la routine et au découragement. Les conférences avaient pour buts de les faire se rencontrer et échanger ainsi que nouer des relations avec la hiérarchie. « Créer entre eux librement cette communauté d’esprit et cette solidarité professionnelle qui fait la puissance et la dignité du corps enseignant. » indique la circulaire.

La circulaire du 20 août 1880 réclamait le vote d’une indemnité pour les instituteurs et institutrices au regard des frais engagés afin d’assister aux conférences pédagogiques.

Source :

Rendu E. (1881). Manuel de l’enseignement primaire. Pédagogique, théorique et pratique. Paris : Hachette. Nouvelle édition remaniée et très augmentée avec la collaboration de A. Trouillet, Inspecteur de l’Instruction Primaire. La première édition date de 1857.

 Pour aller plus loin :

(1880). Conférences pédagogiques de Paris en 1880. Rapports et procès-verbaux. Paris : hachette.

Conférences péda 1880 1 Conférences péda 1880 2

Conférences péda 1880 3 Conférences péda 1880 4

– Sardella L. P. (1988). Des conférences d’instituteurs aux demi-journées pédagogiques : une intuition détournée. Recherche et Formation, 3, p. 19-34.

https://www.persee.fr/doc/refor_0988-1824_1988_num_3_1_914

– IFE, dictionnaire Ferdinand Buisson :

http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/document.php?id=2425

 

 

 

Tableau de fréquence des graphèmes

     Après le tableau de fréquence des phonèmes (post du 23 octobre 2019) voici le tableau de fréquence des graphèmes. Les 5 premiers représentent 37,05% et les 10 premiers, 61,64%. J’ai ajouté ensuite les phonèmes qui correspondent et le numéro d’ordre de fréquence de ces phonèmes.

Pour rappel, une langue est dite transparente lorsque les nombres de phonèmes et de graphèmes sont assez proches. C’est le cas de l’italien (25P pour 35G à peu près) ; l’anglais et le français ne sont pas des langues transparentes…

Cube lettres à toucher avec trait vertical

Tableau de fréquence de tous les graphèmes

Sources :

– Peytard J., Genouvrier E. (1970). Linguistique et enseignement du français. Paris : Larousse.

– Léon P. R. (1966). Prononciation du français standard. Aide mémoire d’orthoépie. Paris : Didier.

Synthèse des fréquences  des graphèmes  (et phonèmes) issue des deux ouvrages :

BRIQUET-DUHAZÉ S. (2013). Développement professionnel et enseignement de la lecture au CP. Paris : L’Harmattan.    BRIQUET-DUHAZÉ S. (2013). Entraînement de la conscience phonologique et progrès en lecture d’élèves en grande difficulté. Paris : L’Harmattan.

De la femme de service à l’ATSEM : bref historique

     Depuis 1887, nous sommes passés d’un recrutement par la Directrice d’école maternelle à un recrutement par le Maire ; d’un travail défini par ce que la femme de service  ne devait pas faire, dans les années 1920-1940 à l’arrêté du 22 février 2017 créant le CAP « Accompagnant éducatif petite enfance » prévoyant un référentiel de certification. Voici quelques jalons historiques du métier de femme de service-ATSEM :

Décret officiel du 18 janvier 1887, article 8 : « Une femme de service doit être attachée à toute école maternelle » ; « La femme de service est nommée par la directrice, avec agrément du maire, et révoquée dans la même forme ». « Le traitement de la femme de service est exclusivement à la charge de la commune ».

Loi du 19 juillet 1889, article 4 : « La rémunération des gens de service dans les écoles maternelles publiques est à la charge des communes ».

En 1939, un chapitre est consacré à la « femme de service » dans l’ouvrage « Organisation et fonctionnement des écoles maternelles, classes enfantines et sections préparatoires » chez Bourrelier. Il précise « Les mêmes avantages seront, par la suite, demandés pour les classes enfantines (circulaire ministérielle du 10 septembre 1913) et légalement accordés par le décret du 15 juillet 1921 (art. 8) puisque « désormais les classes enfantines seront des classes maternelles annexées à des écoles élémentaires » » (p. 121).

Arrêté du 22 juillet 1922, art. 15 : « Elles sont placées sous l’autorité immédiate de la directrice » ; « Tant que l’établissement est ouvert, la femme de service ne doit jamais, sous aucun prétexte, s’occuper d’autre chose que du service spécial de l’école maternelle. » Cet arrêté est le Règlement scolaire modèle qui servait à la rédaction des règlements départementaux relatifs à la tenue des écoles maternelles publiques.

Le chapitre de 1939 (écrit par Mme Dufresse, Inspectrice des écoles maternelles) précise que le rôle des femmes de service et leur travail n’est pas défini dans les textes officiels. Ce qui est sûr, c’est que des institutrices maternelles confient encore trop souvent la surveillance des petits aux femmes de service. Le texte rappelle que l’institutrice est la seule responsable des accidents et que son remplacement par la femme de service est illégal. A l’époque, le texte est cependant tranchant car certaines femmes de service imitent les institutrices : « Elles peuvent être tentées de croire qu’avec une armoire suffisamment pourvue de matériel elles sauraient se tirer d’affaire. A nous de garder jalousement nos prérogatives pour éviter tout malentendu. Le rôle des femmes de service est essentiellement celui de ménagères chargées de l’entretien de la maison. Nous leur demandons d’abord, et presque exclusivement, d’assurer aux enfants des locaux d’une propreté impeccable, d’une salubrité parfaite, dans la mesure où l’hygiène des locaux dépend de nos soins. » (1939, p. 122). L’hygiène pour lutter contre les maladies contagieuses est essentielle : propreté, aération, lavabos, mobilier, jouets…

« Je suppose les institutrices maternelles assez raisonnables pour ne pas déranger à tout instant les femmes de service de leur pénible besogne et simplement pour moucher un enfant à portée de main, rétablir l’ordre d’un tablier, d’une culotte, voire d’une chaussure ! Dans ce cas, il restera, ici ou là, un peu de temps à la femme de service pour l’entretien du vestiaire de secours (confection, lavage, repassage, raccommodage), et on pourra lui demander de laver à l’école les serviettes de toilette qu’on obtient si irrégulièrement des familles, les tabliers qui assurent aux petits malheureux une certaine dignité vestimentaire, les mouchoirs de poche qui parent aux oublis multiples, etc. » (1939, p. 123).

C’est donc en 1939 que l’on perçoit le glissement du recrutement de la femme de service jusqu’alors par la directrice, vers la mairie : « Or c’est à la directrice d’école maternelle qu’incombe le soin de former, diriger, contrôler la femme de service, et nous approuvons toutes les initiatives susceptibles de renforcer son autorité : rapport annuel fourni à l’administration municipale, note chiffrée servant à la répartition des promotions, etc. N’oublions pas que légalement, la directrice a même le droit de choisir le personnel de service et de sanctionner incapacité ou fautes graves par la révocation sous réserve de l’agrément du maire, ce qui augmente encore ses responsabilités. Ce droit, il faut bien en convenir, est de moins en moins respecté. Il a été souvent et demeure très contesté par les municipalités, en particulier dans les grandes villes, sous prétexte d’accorder à toutes les femmes de service les mêmes et justes garanties, y compris la stabilité de leur emploi, d’appliquer les lois sociales relatives au recrutement des employés municipaux, etc. » (1939, p. 124).

En 1954, le cahier de pédagogie moderne « Les écoles maternelles, classes enfantines, cours préparatoires » (Bourrelier) consacre un chapitre à la femme de service précisant qu’elle est l’auxiliaire précieuse des institutrices mais que les textes officiels sont peu nombreux (1887 et 1922). Néanmoins, ce cahier écrit à nouveau que la femme de service doit être nommée par la directrice avec l’agrément du Maire (p. 42) car : « Le texte officiel est généralement respecté, mais dans certaines grandes villes, la femme de service est nommée par le maire. Devenue de ce fait employée communale, soumise au statut des employés communaux, elle jouit à ce titre d’avantages certains dont la stabilité de l’emploi et l’avancement régulier ne sont pas des moindres. […]

Le décret du 18 janvier 1887, article 8 et celui du 15 juillet 1921 vont être modifiés par celui du 1er septembre 1971 : « La femme de service est nommée par le maire, sur proposition de la directrice, et révoquée dans la même forme. » C’est également en 1971 que l’expression « Agent Spécialisé des écoles maternelles et des classes enfantines » apparait.

Le décret du 28 août 1992 (en ligne dans la rubrique ATSEM du blog) précise les modalités de recrutement, nomination et titularisation, avancement des ATSEMS. L’article 2 précise : « Les agents spécialisés des écoles maternelles sont chargés de l’assistance au personnel enseignant pour la réception, l’animation et l’hygiène des très jeunes enfants ainsi que de la préparation et la mise en état de propreté des locaux et du matériel servant directement à ces enfants. Les agents spécialisés des  écoles maternelles participent à la communauté éducative. » Le mot « directeur » est employé une seule fois dans ce texte pour rappeler : « Conformément aux articles R* 412-127 et R* 414-29 du code des communes et sans préjudice des dispositions statutaires, la nomination des agents spécialisés des écoles maternelles et la décision de mettre fin à leurs fonctions sont soumises à l’avis préalable du directeur de l’école ».

Larrêté du 22 février 2017 créant le « CAP Accompagnant éducatif petite enfance » prévoyant le référentiel de certification liste les compétences communes aux différents contextes de travail et des compétences spécifiques notamment à l’école maternelle (voir texte officiel dans la même rubrique du blog).

Vous pouvez consulter la bibliographie ATSEM pour plus de précisions historiques et notamment le Rapport de l’IGEN paru en 2017.

Pourquoi les enfants jouent-ils ? D. W. Winnicott : fiche de lecture

     Voici une fiche de lecture d’un chapitre écrit par D. W. Winnicott (1896-1971) « Pourquoi les enfants jouent-ils ? » publié en anglais en 1942 et traduit en français pour la première fois dans Winnicott D. W. (1989). L’enfant et le monde extérieur. Paris : Payot.

En reprenant les 7 points développés par Winnicott, cela permet d’obtenir les grands objectifs du jeu à l’école maternelle (sans entrer dans les développements reliés à la psychanalyse).

Salle G13 5

Fiche de lecture Chapitre Pourquoi les enfants jouent-ils Winnicott